Pierre Witt a publié récemment un bel article témoignant avec
justesse de l'émotion que cela procure de participer à l'étude des oiseaux migrateurs en les capturant, les inspectant et les
marquant. Ce reportage, paru dans Terre Sauvage n°374 (Mars 2020), a été
réalisé au camp de suivi de la migration par baguage de Marcenay,
à la frontière entre la Côte-d'Or et l'Aube, dans la roselière
d'un étang perdu au milieu du plateau calcaire du Châtillonnais.
Ce suivi est réalisé tous les mois d'août depuis 2009 par la Ligue de la Protection des Oiseaux de Côte-d'Or et
Sâone-et-Loire. Il repose sur la mise en œuvre du protocole
d'étude de la halte migratoire (dit SEJOUR) des fauvettes
paludicoles et des buissons, et des hirondelles et bergeronnettes
utilisant la roselière comme dortoir.
Pierre Witt nous a accompagné pendant quelque jours, et en a
tiré ce bel article auquel vous pouvez accéder en cliquant sur ce lien, en allant à la page 50 (Texte
et photographies © Pierre Witt pour Terre Sauvage).
Rédacteur: Pierre Durlet
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire